Topic libre

Départ tôt hier matin en famille pour Sully sur Loire où se tiennent les "Heures historiques". Nous atteignons notre but vers 11h45. Il est donc l'heure de nous restaurer. Les "Heures historiques", c'est quoi ? Il s'agit d'un festival multi-époques accompagné de nombreuses animations, d'un marché et d'un feu d'artifice ayant pour cadre le château de Sully-sur-Loire. L'ambiance y est bon enfant, les participants costumés et passionnés qu'ils sont, se réclamant de diverses associations, sont toujours prêts à vous exposer leur artisanat et même leurs recettes de cuisine. Eh oui, j'ai même goûté du sanglier et du poisson à l'oseille cuisinés à la façon "Moyen-Âge" par une dame ô combien accueillante.







D'entrée de jeu, je me fais piéger parce que j'ai osé dire que le sanglier était trop relevé ce à quoi la dame soi-disant "charmante" me dénonce auprès des autorités. Je suis condamné au pilori pendant quelques dix minutes (on a pitié de moi parce que j'étais nouveau sur la place) sous un soleil de plomb car en cette matinée aoûtienne, la température est enfin "estivale"...... Les descendants des gens de cette époque, je ne les savais pas si susceptibles...... :mrgreen:



Nous poursuivons notre balade dans les travées et découvrons bon nombre de petites échoppes qui vendent tour à tour des senteurs d'autrefois, des reproductions d'armes en tout genre (épées, hâches, dagues etc....).





L'après-midi est agrémenté d'animations aussi diverses les unes que les autres telles un bourreau qui nous raconte des histoires ma foi très drôles, un bourreau-bonimenteur en somme qui, aussi susceptible que notre cuisinière de fortune, menace de décapiter une jeune femme ayant commis le péché d'adultère, des combats entre deux chevaliers vêtus d'une pesante armure, des techniques de combats chez les Gaulois, des tirs émanant de régiments d'infanterie et de canons d'époque, des danses (pas pris de photos pour ces dernières, j'attendais ma bière...... ).






Nos ancêtres, les Gaulois.



Au fond du parc sont installés divers campements où des passionnés ont revêtu des uniformes d'époque. Ce qui est amusant, c'est de voir se côtoyer ces passionnés qui sont habillés de costumes de différentes époques. Exemple : deux comtesses du XVIIIème siècle conversant avec un GI.









Toutes ces activités nous occupent jusqu'au défilé prévu à 19h (il y en a deux dans la journée) où plus de 1000 figurants marchent d'un pas alerte avec une fierté non dissimulée. C'est vraiment magnifique.







Cela nous amène tranquillement jusqu'au dîner qui, lui, sera composé d'une truffade qui, en fait, ressemblera davantage à une tartiflette au demeurant très bonne.

La nuit tombe et donc cette belle journée va se conclure avec un feu d'artifice en tout point très beau au dessus du château. Les gens sont ravis et le manifestent via des clameurs enjouées.







Il est temps de repartir après de longs embouteillages dans Sully sur Loire. En effet, il nous reste pas mal de route (plus de 2h) et c'est donc satisfaits d'avoir passé une bonne journée que nous regagnons la cité gabinienne.

merci Filou qui nous fait voyager
c'est notre "échappée belle" du forum

Chaque fin d'année, c'est toujours pareil !!! Les 3èmes pleurent à chaudes larmes lorsqu'une fois le Brevet terminé, ils se disent qu'ils doivent partir et ce, malgré le fait qu'ils aient été soi-disant "martyrisés" par tous les devoirs qu'on leur a donnés. Et bien là, ce ne fut pas le cas. Il y avait certes les chaudes larmes mais hier, ils n'étaient pas pressés de partir car avant de prendre congé, aidés de l'APEL (association des parents d'élèves), ils avaient préparé une "petite fête" célébrant ce douloureux départ. Petit goûter mis en place, les jeunes filles avaient revêtu leurs plus beaux atours pour remettre à certains de leurs camarades et à certains enseignants quelques récompenses. J'obtins ceci :























Ensuite, et là, en 30 ans de présence dans cet honorable établissement, ce fut la première fois qu'élèves et professeurs s'assirent autour de ce goûter pour le moins convivial et émouvant, ponctué d'un show délirant animé par deux élèves particulièrement enthousiastes. Cela dura jusqu'à 21:00 environ voire plus pour ceux qui restèrent plus longtemps afin d'assister à la prestation de la chorale mise en place cette année. Même après la chorale, ils ne voulaient pas toujours partir. Je le répète, je n'avais jamais vu ça en 30 ans. L'année dernière, cela avait été émouvant, mais là, on avait franchi un cap..... Profs, élèves, surveillants étaient très très émus. Je suis sûr que cela restera dans la mémoire collective.

SUPER chez nous aussi ce fut très beau...tu te trouves dans un beau cadre Phil..

Même si ce n'était pas la meilleure saison pour les roses, la visite de cette roseraie située à l'Haÿ les Roses s'est avérée très agréable. Voici quelques clichés.

J'imagine que tout le monde ici a entendu parler du chocolat Menier. Hier après-midi, ma femme et moi sommes retournés sur le lieu de fabrication de ce chocolat mythique à savoir Noisiel. Avant ceci dit d'atteindre notre but, il nous fallait traverser le Parc de Noisiel qui appartenait au grand patron de l'époque qui avait pour nom Henri Menier. Pour son plaisir personnel, il avait fait amener de l'Océan Arctique un couple d'ours polaires pour lesquels il avait fait une cage à ours que la haute société d'alors s'empressait d'admirer. Cette cage à ours, je l'avais vue il y a des années lors d'une sortie AS (Association Sportive) un mercredi après-midi parce qu'un élève nous avait indiqués le lieu en question. Incapable depuis de retrouver ce lieu superbe. Heureusement, mon "ami" GPS a su le retrouver.



Direction donc la chocolaterie qui se trouve sur les bords de Marne dans un cadre bucolique. Nous ne sommes qu'à quelques kilomètres de Paris et voici ce que l'on contemple. Un parc immense verdoyant parfois ombragé et puis cette imposante chocolaterie inactive aujourd'hui. Classée monument historique, elle a échappé à la destruction.






La chocolaterie au fond à droite.




Le barrage.


La chocolaterie.




Le Moulin Saulnier (situé dans l'enceinte de la chocolaterie).

Cet endroit paisible se veut également être le lieu de rencontre de diverses espèces d'oiseaux. Cormorans, mouettes et hérons se plaisent à pêcher dans les eaux très poissonneuses de la Marne notamment à proximité du barrage.



Nous y restons sous une chaleur limite étouffante accompagnée d'une légère brise  trois bons quarts d'heure ne pensant à rien d'autre qu'à contempler ainsi ce festival discontinu des mouettes qui s'amusent à plonger de façon vertigineuse dans les eaux troubles de la Marne.
Puis, se faisant un peu tard, nous repartons tranquillement vers la voiture garée à l'extérieur du parc et repassons devant la cage aux ours. Un lieu que, pour ma part, j'adore, tant il y règne une ambiance de mystère.





En remontant ensuite vers la sortie, je trouve le moyen de me faire piquer par une p***** de guêpe. Je sens la piqûre quelques instants mais le Phil, c'est pas une tafiole, il est robuste. Ma femme, inquiète, s'empresse de me dire qu'il faut se rendre dans une phamarcie. Je n'en éprouve pas l'utilité, prenant même le temps de prendre encore quelques clichés.




Ruines d'une dépendance.

Désirant ne pas froisser ma femme et éviter l'incident diplomatique, je m'enquiers auprès d'un pharmacien qui me file une pommade ("Onctose" pour ne pas la citer). Il me dit que ça calmera le jeu, ce qui fut le cas par la suite. D'ailleurs, j'ai oublié d'en remettre ce matin car je ne ressens plus de douleur.

A part ce léger incident, ce fut une bien belle journée.

Provins célébrait hier le 50ème anniversaire de la Fête de la Moisson et non pas "des moissons" comme je l'ai écrit. Cette fête, j'y étais allé il y a bien des années. Je reconnais qu'elle m'avait laissé un bon souvenir. Aussi décidai-je d'inviter mon cousin vénéré et sa compagne. En plus, le temps s'y prêtait parfaitement puisque le temps était au beau fixe, parfois un peu lourd mais bon, nous nous en accommodons.


La Grange aux Dîmes






Steph et Tang s'aiment......    

Lorsque nous arrivons sur ce magnifique site qu'est Provins où sont passés les Yardbirds en 1966, un défilé de vieux tracteurs est en cours. Cela attire tout naturellement la curiosité des badauds qui applaudissent à chaudes mains à chaque passage de tracteur. D'ailleurs, il est prévu dans la journée plusieurs défilés.


Source : Hexagonal Experiences by Christophe Le Pabic et Benoit Pascal (1997).




Les représentants belges étaient descendus en masse sur Provins.

Nous retrouvons mon cousin et sa compagne sur la place du Chatel, autrement dit la place centrale du centre ville historique.


La Tour César.


La Collégiale Saint Quiriace.

Mon cousin, toujours aussi loufoque et ce, depuis des années, exige de notre part un selfie de métalleux. Ce dernier m'avait entre autres accompagné au légendaire Breaking Sound Festival du Bourget en 1984, festival dont nous fêtons aujourd'hui le 38ème anniversaire.







Il est temps d'aller déjeuner. Hormis les restaurants qui sont hors de prix, il est plus simple pour nous de nous ravitailler dans un petit snack qui nous propose un excellent jambon braisé avec pour accompagnement des frites succulentes et une bonne bière.

Non loin de là, une exposition de véhicules anciens rassemble des passionnés dont je fais partie.





















Juste à côté se sont installés des collectionneurs de trains électriques (Lag aurait été content). Ainsi, ils présentent un plateau assez sommaire où se croisent inlassablement deux convois.







Notre visite s'arrête sur une moissonneuse qui transforme le foin en bottes.


Nous recroisons une nouvelle fois le défilé des tracteurs accompagnés cette fois-ci de fanfares, de danseurs et de villageois.























Il commence à se faire tard. Nous prenons congé de mon cousin avec le sentiment d'avoir franchement passé une super journée. En repartant, nous passons devant un groupe de danseurs pas tous professionnels qui effectuent une ronde endiablée sur un morceau particulièrement dynamique.

bon ça fait un peu Filou le bobo chez les ploucs

En bon fils, petit fils, arrière petit fils.... de paysans bretons qui dans sa jeunesse a participé à de nombreuses moissons dans le farme de ses parents, je devant cette phrase :
"Notre visite s'arrête sur une moissonneuse qui transforme le foin en bottes."

WIKI
Le FOIN est un fourrage constitué de végétaux fauchés, séchés et conservés pour l'alimentation des animaux herbivores dans les périodes, mauvaise saison ou période de sécheresse par exemple, dans lesquelles le pâturage n'est pas possible. Il s'agit le plus souvent d'herbe provenant de prairie. C'était autrefois une des conditions d'existence des systèmes de type polyculture-élevage et il était indispensable aux activités utilisant des chevaux (postes, transports, armées...)
En agriculture, la MOISSON est la récolte de plantes à graines, principalement les céréales. Le terme s'emploie préférentiellement pour les céréales à paille (blé, orge, avoine, seigle) ; pour le maïs on parle plutôt de récolte. Par extension, le terme s'applique pour de nombreuses cultures à graines dont la récolte se fait à la moissonneuse, notamment des oléagineux, protéagineux et légumes secs . Il désigne aussi la période pendant laquelle a lieu la moisson, et le produit de cette récolte.

Donc c'est pas du FOIN que tu as vu mettre en bottes

PCH29 a écrit:

bon ça fait un peu Filou le bobo chez les ploucs

En bon fils, petit fils, arrière petit fils.... de paysans bretons qui dans sa jeunesse a participé à de nombreuses moissons dans le farme de ses parents, je    devant cette phrase :
"Notre visite s'arrête sur une moissonneuse qui transforme le foin en bottes."

WIKI
Le FOIN est un fourrage constitué de végétaux fauchés, séchés et conservés pour l'alimentation des animaux herbivores dans les périodes, mauvaise saison ou période de sécheresse par exemple, dans lesquelles le pâturage n'est pas possible. Il s'agit le plus souvent d'herbe provenant de prairie. C'était autrefois une des conditions d'existence des systèmes de type polyculture-élevage et il était indispensable aux activités utilisant des chevaux (postes, transports, armées...)
En agriculture, la MOISSON est la récolte de plantes à graines, principalement les céréales. Le terme s'emploie préférentiellement pour les céréales à paille (blé, orge, avoine, seigle) ; pour le maïs on parle plutôt de récolte. Par extension, le terme s'applique pour de nombreuses cultures à graines dont la récolte se fait à la moissonneuse, notamment des oléagineux, protéagineux et légumes secs . Il désigne aussi la période pendant laquelle a lieu la moisson, et le produit de cette récolte.

Donc c'est pas du FOIN que tu as vu mettre en bottes  

Cet après-midi et ce, malgré la pluie, nous nous sommes rendus à Brie Comte Robert pour assister à une superbe fête médiévale. On a eu le droit à un défilé puis un tournoi sur la grande place de laville.

voilà les travaux ont reprit, on a voulut placer des nouveaux cables éléctrique dans les anciens tubes...ils sont pourris donc des saignées dans tout le linving

Le quartier chinois du 13ème arrondissait de Paris ne m'intéressait pas plus que ça et donc c'est sans une réelle motivation que je m'apprètais à affronter les rigueurs de l'hiver. Le RDV est donc pris pour 14h avec un groupe de retraités (histoire de me dire que bientôt (même si cela a été reporté, j'y serai bientôt oui bientôt..... )). Mme Phil et moi trouvons quand le moyen d'arriver en retard et ce, à cause de la circulation dense au niveau du Toufourama de Bondy (la patrie de M'Bappé) et du métro qui lui aussi, traîne assez lamentablement. Maison Blanche qu'il faut aller. C'est sur la ligne 7 et il nous faut nous "taper" plus d'une quinzaine de stations. Nous atteignons notre but alors que le groupe qui nous accompagne, a déjà pris la poudre d'escampette. Pas grave avec mon sens d'orientation légendaire, retrouver nos amis ne relèvera que d'une simple formalité.

"-Allo F., Vous êtes où ?
-Rue Tagore puis tu verras l'église de Chine sur ta droite......"



Nous finissons par retrouver nos compagnons de marche que nous ne connaissons pas vraiment. Le quartier arbore quelques décorations à l'occasion du Nouvel An Chinois (l'année du Lapin, paraît-il), décorations sponsorisées par les frères Tang (56ème fortune en France). Mais cela s'avère assez décevant. Je m'attendais à beaucoup plus de couleurs dans les avenues d'Ivry et de Choisy.

Notre périple débute au milieu des barres d'immeubles et tours vertigineuses construites à la fin des années 50. L'intervenante nous fait savoir que toutes ces constructions furent bâties pour accueillir des Chinois qui avaient fait étape au Laos, Vietnam et Cambodge avant de venir se réfugier en France. Nous sommes admiratifs devant certaines bâtisses qui, elles, font étalage de leurs fresques impressionnantes et magnifiques, l'une d'entre elles rendant un hommage appuyé à la Joconde de Léonard de Vinci.







Ce faisant, après avoir longé l'ancienne usine Panhard, nous nous engageons dans des petites allées au charme non dissimulé. De petites masures colorées ayant sans doute été la propriété d'ouvriers ayant travaillé dans l'illustre entreprise, offrent un charme désuet à ce petit passage que l'on nomme "Passage National".











Ce qui suit ne brille pas par une esthétique débordante. En effet, nous passons devant l'ancienne gare de marchandises des Gobelins nichée sous des tours aussi hideuses les unes que les autres, atteignons une sorte d'esplanade qui surplombe la dite gare, poursuivons inlassablement notre chemin pour pénétrer dans un centre commercial confiné, centre commercial nommé Oslo qui accueille uniquement des boutiques chinoises. Des traiteurs se mêlent aux esthéticiennes et même à des vendeurs de musique chinoise. Ca fourmille et ça piaille dans tous les sens et malgré toute cette agitation, cela attire des badauds de toute origine qui se pressent aux étals d'où s'échappent de savoureux fumets.











Près du centre commercial, le gérant d'un restaurant vient nous signifier que l'accès à son établissement s'avère réglementé compte tenu du fait que tout le staff est sur le pied de guerre afin de préparer les festivités du Nouvel An Chinois. Ne préférant pas déranger tout ce p'tit monde, nous poursuivons notre petit bonhomme de chemin et retombons sur ce qu'il reste de l'ancienne Panhard.





Suivant un rythme de marche bien soutenu, nous parvenons à l'avenue de Choisy qui, elle aussi, grouille de potentiels acheteurs qui se pressent pour effectuer leurs dernières emplettes.














L'Arche de la Fraternité

Pour finir notre périple, nous empruntons la rue du Disque où quelques fidèles bouddhistes viennent déposer des offrandes devant une statue de Buddha et s'y recueillir ensuite. Une nouvelle fois, il ne nous apparaît pas nécessaire de trop s'éterniser surtout que le tôlier s'empresse de venir sermonner notre guide lui rappelant qu'il s'agit d'un lieu de prière.





La note finale est celle que pour ma part, j'attendais. En effet, nous passons devant le Stadium, une salle mythique dans laquelle se sont produits des groupes légendaires tels que Trust, AC/DC et Thin Lizzy. Alors oui, la salle n'est plus tout à fait la même puisque certaines de ses installations ont été détruites par un incendie juste avant un concert de Rush en 1981.

https://www.le13dumois.fr/component/content/article/61-53/601-dossier-i-les-salles-l-mythiques-r-du-13e-







Une balade bien sympa malgré le froid rigoureux. Je suis content, j'ai vu le Stadium.....

Brie Comte Robert et sa cité historique accueillaient les Drôles en Groles pour de nouvelles aventures pédestres. Nouvelles aventures qui allaient être cette fois-ci animées par la dynamique Christine qui, avant le départ, nous fit un bref rappel des consignes de sécurité.
Malgré un froid saisissant, les joyeux drilles que nous sommes, affichaient leur bonne humeur légendaire, beaucoup de détermination et de courage avant d'affronter sur 16 km les chemins de traverse de la Brie.

La première partie du trajet est constituée de grandes étendues verdoyantes sous un ciel plombé, le tout rythmé par quelques déflagrations de chevrotine émanant de chasseurs qui sont à la recherche de gros gibiers.







Nous n'en avons cure et poursuivons notre progression jusqu'à une première localité qui porte le nom de Grégy sur Yerre. Ce charmant petit village non dénué de charme car composé de fort jolies bâtisses aux pierres apparentes fait son effet sur les Drôles. Incroyable parfois de constater à quel point certains habitants très inventifs se plaisent à valoriser voire à embellir avec goût leur petit chez soi.







Bonnant malant, une curiosité à laquelle nous ne nous attendions pas, fait son apparition devant des Drôles ravis au plus haut point alors qu'ils contemplent ce Pont des Romains pendant de longues minutes. L'espace d'un instant, nous imaginons tous ceux et celles qui l'ont traversé pendant plus de 1500 ans. Toujours présent pour enjamber cette rivière impétueuse qu'est la Yerre, il trône au milieu de ce superbe paysage bucolique. C'est pour beaucoup, le "clou" de cette randonnée qui vient à peine de commencer.







Une bonne humeur communicative nous fait progresser activement et surement vers le lieu de la restauration. Il a fallu d'ailleurs en dissuader certains qui étaient prêts, animés d'un humour sans faille, à détourner leurs pas vers un restaurant pour fins gourmets. L'Auberge du Pont St Pierre que ça s'appelait mais bon, ils ont tenu............bon pour s'acquitter d'un.............bon repas champêtre près de Suisnes au demeurant très convivial.

De plus belle, nous repartons pour les six derniers kilomètres qui nous séparent de notre but à savoir Brie Comte Robert et son formidable château en cours de restauration.

Mylène, notre Présidente toujours aussi joviale et dynamique avec chacun d'entre nous, nous propose en guise de "bouquet final" une succulente galette des Rois qui, pour la 3ème fois consécutive cette année, voit votre serviteur, être sacré roi.

Encore donc une superbe randonnée qui laissera sans doute de bien belles images dans la tête de ceux qui y ont participé.


Le Château


L'Hôtel-Dieu


L'église

Le point de départ de cette nouvelle randonnée se situait en ce dimanche relativement froid à Crépy en Valois, fief des comtes du même nom, puissants vassaux du Roi de France. Nous stationnons sur un parking attenant à d'imposants remparts d'un château dont j'ignore le nom. Mille excuses donc mais en tous les cas ce qui est certain, c'est qu'à Crépy, les murs, on sait les faire.......

Aujourd'hui, le "Chef" de la rando, c'est Christian. Attention, car c'est au rythme d'un régiment en quête de sensations fortes, prêt à en découdre avec un hypothétique adversaire que nous abordons cette nouvelle escapade.

Un peu empruntés et rouillés au tout début, nous adoptons une cadence pour le moins "tranquille", le "Chef" étant déjà en tête et ne remarquant même pas nos petites faiblesses.









La campagne autour de Crépy en Valois dévoile ses charmes sous les yeux admiratifs des amis randonneurs qui, de temps à autre, n'hésitent pas à stopper leur progression pour contempler de superbes sites.



C'est Morcourt qui, le premier, nous gratifie d'une sérénité sans pareil. Seuls, les bruits de nos pas bercent notre attention, nos pas qui, à mesure que nous poursuivons notre marche, prennent un rythme plus soutenu dans cette petite localité au charme non dissimulé. Christian qui s'en rend compte, nous encourage et nous félicite avec un enthousiasme qui n'a d'égal que le sien.











Direction Béthancourt en Valois qui n'est guère éloigné de Morcourt. Le pas alerte de nos amis randonneurs nous fait gagner un temps précieux puisque nous arrivons très vite à Béthancourt, ayant au préalable admiré aussi bien des situations insolites telles que cette Peugeot 305 perdue au milieu de nulle part que des paysages absolument magnifiques.





Son église du XIIème siècle qui domine avec une certaine majesté la partie méridionale, nous offre l'opportunité d'en découvrir les contours mais malheureusement l'édifice est fermé.





Au cri d'un vigoureux "C'est reparti !!!!!!!!!!" lancé par un Christian déterminé, nous repartons arpenter la campagne picarde, passons Gilocourt où je rends un vibrant hommage à l'ami Robert Dumont tombé sous les balles de l'envahisseur allemand lors de la Libération de sa localité en 1944, puis après avoir fait quelques rencontres insolites, atteignons l'estomac dans les talons le charmant et pittoresque village d'Orrouy qui regorge de belles surprises, telles ce château qui fut entre autres le poste de commandement du Général Estienne, connu pour avoir été le "Père des chars de combat français" pendant la Première Guerre Mondiale.
Il est un fait avéré c'est que Christian a tout particulièrement bien choisi l'endroit du pique-nique. En effet, devant nous, se dresse une imposante église (L'Eglise St Rémi), elle aussi du XIIème siècle, une église qui, avouons-le, présente quelques similitudes avec celle mondialement connue d'Auvers sur Oise.



















Le ravitaillement, un moment convivial que tout le monde attend avec impatience, se veut être l'occasion de raconter de bonnes boutades (non non, je ne dénoncerai pas mes p'tits camarades ) et d'échanger nos impressions sur la randonnée en cours mais aussi de savourer et cela est la "cerise sur le gâteau" de ce repas champêtre, le rhum arrangé du "Chef" qui, jusqu'ici n'a jamais manqué à ses devoirs en en proposant quelques rasades pour nous réchauffer. "Succulent" : voici le qualificatif pour définir ce doux breuvage.

Il est maintenant temps de repartir pour affronter les 9 derniers kilomètres qui nous séparent de notre but. Ainsi, après un p'tit raidillon bien pentu, nous traversons sous des températures presque printanières des contrées boisées, toujours animés que nous sommes d'une bonne humeur communicative, bonne humeur portée par un soleil radieux surtout aux alentours de Glaignes. Les couleurs y sont chatoyantes pour nous dire au final que le printemps déjà est à notre porte.












Château La Couture

A mesure que nous progressons, la partie boisée laisse place, après la Remise de la Couture matérialisée par un superbe calvaire, à un tronçon beaucoup à découvert et ce, jusqu'à notre point de départ. Sur ces derniers kilomètres à proximité de la ferme d'Azemont, nous faisons une deuxième rencontre ô combien attachante. En effet, une superbe jument accompagnée de son poulain s'approche de nos amis randonneurs avec néanmoins une certaine prudence. "J'y vais, j'y vais pas ?" Tous deux opteront pour la 2ème solution.





Enfin, de cette magnifique randonnée dominicale, nous en voyons le terme. Soulagés, fatigués mais libérés d'être venus à bout de cette superbe aventure pédestre. Vivement la prochaine !!!

je suis partout..


https://www.rtbf.be/article/ted-hacker-ukrainien-participe-a-la-cyberguerre-on-cause-des-dommages-economiques-a-la-russie-11159383

un petit visiteur cet aprèm..

Oh un renardeau des Balkans

Vous l'avez bien sûr reconnu ?

Une petite parenthèse, moi ce qui me fait rire, tous ces gens qui manifestent depuis des mois, l'année dernière, ils ont mis un bulletin du poudré (Macron) dans l'urne et maintenant, ils pleurent  

Merci mon Phil

Une grosse bise à notre Jean Sorcelle 🥰 toujours en captivité par son geôlier le dictateur nazi d’extrême gauche

pas trop de forum aujourd'hui j'ai redescendant ma veille chaine hi fi...photo a venir..

les gros travaux recommencent chez moi...salle de bain,wc, couloir....