PHIL LYNOTT

Superbe affiche en tout cas, on savait vivre en ce temps là..

Oui, et puis les noms de groupes qui sont dessus nous parlent beaucoup plus que ceux que l'on trouve aujourd'hui !

ah moi aussi Chris....

idem
que des groupes cultes des années 70/80 dont on ne lassera jamais

Me souvenais pas de ça. Une fois passées les élucubrations de l'autre huluberlu en pyjama, c'est une super vidéo....

La carrière solo de Phil Lynott n'a certes pas été aussi resplendissante que celle qu'il a gérée de main de maître avec Thin Lizzy mais elle a le mérite d'avoir existé et ce, grâce à deux tentatives solos plus ou moins réussies mais sympas sur le fond : Solo In Soho en 1980 et The Philip Lynott Album deux ans plus tard. Deux albums qui ainsi nous font découvrir les facettes plus intimistes d'un artiste hors du commun, inclassable, oserais-je dire. Sur ses albums solos, on y retrouve des morceaux à consonnance reggae (Solo In Soho), funk (Together, Tattoo), exotique (Jamaican Rum avec Gary Moore à la guitare), "Dire Straitienne", (King's Call avec le sieur Mark Knopfler à la six-cordes) et "pop synthétique" (Yellow Pearl). Vous me direz que c'est un peu la fonction de l'album solo d'explorer avec plus ou moins de réussite des champs musicaux inhabituels et par la même, totalement différents de ce que l'on fait avec son groupe principal. Oser s'aventurer : tel est le défi que s'était relevé le sieur Lynott. Le succès ? Il n'a jamais couru après et ce n'est pas un mal après tout. Malgré le succès d'estime de Yellow Pearl et ses nappes de clavier souvent douteuses et envahissantes, on va dire, ces deux albums resteront dans le plus grand anonymat sauf pour ceux et celles qui suivaient le quotidien musical de la Lizzy Family. La seule heure de gloire résidera dans l'utilisation du thème de Yellow Pearl pour le générique de la très populaire émission Top Of The Pops. Michael Hurll, le producteur en était raide dingue.

Alors que Thin Lizzy était en stand-by, le grand Phil, entouré d'un groupe de potes, s'embarque alors sous l'appellation The Philip Lynott Soul Band dans une tournée qui passera par Paris au Palace (...).

Le concert proposé ici, enregistré soundboard 'at home' en Irlande, plus principalement à Omagh le 9 juillet 1982, met tout naturellement l'accent sur des versions dynamisées extraites des deux albums sus-cités. Le répertoire lizzien n'est cependant pas en reste puisque nous sont également proposés deux incontournables fièrement revisités que sont Whiskey In The Jar et Baby Drives Me Crazy. Dans tous les cas, il s'agit d'un beau document, certes, qui a pris, cela étant, un bon "coup de vieux" en termes de son et de production.

exact Phil, les albums solos de PL explorent d'autres univers musicaux
pour ça, je les trouve sympas mais sans plus
et puis je ne supporte pas le titre YELLOW PEARL

Dernier single publié avant son décès :

Jolie chronique du 2ème album, The Philip Lynott Album :

http://metal.nightfall.fr/index_12118_phil-lynott-the-philip-lynott-s-album.html

Phil a écrit:

Jolie chronique du 2ème album, The Philip Lynott Album :

http://metal.nightfall.fr/index_12118_phil-lynott-the-philip-lynott-s-album.html

exact, je me sers souvent de ce site pour y lire des chroniques

Ecoute de ce concert parisien du grand Phil enregistré dans l'antre des folles nuits parisiennes des années 80 (le Palace, étonnant d'ailleurs) et retransmis en son temps par RTL. A l'époque, il venait de sortir son 2ème opus solo intitulé The Philip Lynott Album dans lequel on trouvait des morceaux issus d'un autre registre musical bien loin de celui de Thin Lizzy : du funk avec Together et The Man's A Fool, de la pop un peu électro avec Yellow Pearl mais aussi des titres très intimistes comme Cathleen dédié à sa 2ème fille (la première Sarah avait déjà eu sa chanson sur Black Rose), Growing Up et Little Bit Of Water. Et puis il y a l'éternel Old Town (repris beaucoup plus tard par les Corrs......au pied......levé) nous amenant à Paris quelques senteurs dublinoises. Ce concert auquel je n'ai malheureusement pas assisté car je n'avais pas eu l'info, s'avère brillant en tout point puisque notre ami proposant des versions énergiques des titres de ses 2 albums solos, n'en oublie pas de revisiter certains classiques lizziens comme Dancing In The Moonlight, Baby Drives Me Crazy et le traditionnel Whiskey In The Jar. J'imagine que ceux qui y ont assisté, ont dû passer un excellent moment.

L'histoire d'Old Town :

Je vais essayer de récupérer ça :

https://www.qobuz.com/lu-fr/album/phil-lynott-the-last-sessions-phil-lynott/t4b654uzxqppc

ça s'écoute sur youtube...

Voici le certificat attestant le 5 juillet 1979 que Phil Lynott fut actionnaire du club de Manchester United à hauteur de 10 parts :

https://www.flickr.com/photos/lauranagle/5588263601